Dans ce grand cirque de l'existence, ma foi, Où l'on jongle avec le paraître et le vrai émoi, La quête du sens se mêle à l'illusion, Comme un masque qu'on porte en toute occasion.

Il est souvent difficile de faire balader sa réflexion dans les sentiers de l'amour, tant que ce sujet suscite beaucoup d'émotions et d'expériences tellement personnelles et profondes pour tout un chacun, que projeter ses propres idées sur cette réalité pure et dure ne sera forcément qu'une tentative vouée à l'échec avec, de facto, autant d'omissions. Sans volonté de dénigrer l'expérience de tout lecteur mais avec l'ambition de sortir quand même des sentiers battus, je ne criblerai pas ma réflexion de points de morales mais je me suffirait à donner une (ma) perception sur l'amour.

Je ne vise pas à fustiger ma génération, puisque j'en fais partie. Je ne vise pas non plus à tarir mes ainées d'éloges ou enlever le crédit des plus jeunes. Ceci est à prendre tout simplement comme un regard brutal comme tout ce qui pourra figurer parmi mes écrits

L'année 2020 a renversée beaucoup de tendances et dénuer pas mal de pratiques de leurs sens. Marquée par des crises tous azimut, elle était surtout une année où nous avons revisiter un instinct des plus primaires chez nous : celui de la peur de la mort. Ce contexte inédit,nous pousse donc légitement à réfléchir sur l'intéret de plannifier une nouvelle année qui vient déjà avec une corbeille de ses propres extensions de problèmes. Résolution, ne veut pas dire recommencer de zéro ? Partir du bon pieds ?